Quelque part à Paris ou pas loin, dans le ciel tournoie un gentil pigeon constipé. Cette nuit, il aura l’idée de se poser sur une fenêtre et de se déconstiper le plus largement possible pour dire à l’homme brun derrière cette fenêtre d’abord de suivre Besson ou Kouchner, et aussi qu’il n’est qu’un petit paltoquet.
La morale de cette fabliette : bosser plus c’est comme manger plus, on ne fait qu’en chier davantage à la fin.
Pierre Chantelois
/ 6 janvier 2011Deux noms très évocateurs en politique française, si je saisis bien. Laisseront-ils eux aussi ces marques que distribue généreusement le pigeon-voyageur sur les bords de fenêtres?
RV
/ 8 janvier 2011Précisément ce que j’ai en tête ! 🙂
lautreje
/ 6 janvier 2011Bien dit !!
RV
/ 8 janvier 2011Merci (que le compliment s’adresse à Pierre ou à moi d’ailleurs !)
Denise
/ 14 janvier 2011RV, c’est toute honteuse que je viens sur votre blog ou j’ai cliqué vraiment par hasard.
Veuillez m’en excuser. J’avais cru comprendre que vous aviez cessé votre blog et j’étais tristounette. Mais que vois-je? des mots amis et cela me fait bien plaisir.
Je reviendrai 😉
Amicalement
Denise